Algérie
Politique et programmes de développement des PME en Algérie
Les mesures de soutien pour aider les PME à faire face aux conséquences de la pandémie du COVID-19 en Algérie
En réponse à la pandémie COVID-19, un comité national de suivi a été mis en place en mars 2020. Pour soutenir l'économie et les PME, la Banque d'Algérie a abaissé le taux de réserves obligatoires de 10% à 8% et son principal taux directeur (à 3,25 %). L'impôt sur le revenu et les paiements des PME ont été retardés avec l'option de paiements différés. Pour faciliter l'importation de produits alimentaires et de dispositifs médicaux liés au traitement du virus COVID-19, une procédure accélérée de dédouanement a été mise en place. Face à la baisse des recettes pétrolières, les autorités envisagent de réduire la consommation, les investissements publics et les importations et préparent une loi de finances complémentaire visant à atténuer l'impact économique de la crise. En savoir plus
Coordinateur SBA et groupe de travail MED MSME en Algérie
Le coordinateur national du Small Business Act (SBAC en Algérie) est M. Abdallah TELAILIA (Ministère de l'Industrie et des Mines). Sous sa supervision, des groupes de travail MED MSMEs composés de représentants institutionnels et du secteur privé ont été créés pour faciliter la mise en œuvre du programme, principalement dans les domaines de l'accès au financement et de l'internationalisation des PME.
Les groupes de Travail (GT)
Dans chacun des pays partenaires, et en collaboration avec les Coordinateurs SBA, la mise en œuvre du Programme s’appuie sur la composition de deux groupes de travail respectivement sur les thèmes de l’Accès au financement et de l’Internationalisation. Le but des groupes de travail est de garantir que les activités effectuées à une échelle régionale intègrent les priorités fixées au niveau national et se traduisent par un impact au niveau national.
Ces groupes de travail sont composés de décideurs politiques, d’organismes régulateurs, de représentants du secteur privé et – dans la mesure du possible – de représentants du corps législatif national ainsi que de représentants de la délégation de l’UE et des partenaires du développement qui seront invités à prendre part aux travaux de groupes. Ces groupes de travail, dont le nombre ne devrait pas dépasser 15 membres, doivent compter au moins 5 femmes parmi eux.
Les Groupes de Travail seront chargés des aspects suivants :