Tunisie
SOUTIEN AUX MPME et RÉPONSE COVID19
SBAC et groupe de travail
L’objectif des groupes de travail est de garantir que les activités effectuées à une échelle régionale intègrent les priorités fixées au niveau national et se traduisent par un impact au niveau national. Dans chacun des pays partenaires, et en collaboration avec les Coordinateurs SBA, la mise en œuvre du Programme s’appuie sur la composition de deux groupes de travail respectivement sur les thèmes de l’Accès au financement et de l’Internationalisation. Ces groupes de travail sont composés de décideurs politiques, d'organismes régulateurs, d'agences publiques, de représentants du secteur privé et -dans la mesure du possible - de représentants du corps législatif national; les représentants de la délégation de l'UE et les partenaires de développement concernés seront invités à participer aux sessions de travail. Ces groupes de travail ne dépasseront pas 15 membres, dont au moins un tiers seront des femmes.
Le coordinateur national du Small Business Act (SBAC) en Tunisie est M. Ali GOMRI, Chargé de la direction de coopération internationale auprès de l’Agence de Promotion de l'Industrie et de l'Innovation - APII Tunisie" relevant du Ministère de l'Industrie et des PME. Un groupe de travail MED MSMEs a été créé, sous la supervision du SBAC, pour contribuer à la mise en œuvre du programme. Il est composé de représentants institutionnels et privés tels que: UTICA, CONECT, CNFCE, ….
Les groupes de Travail (GT)
Dans chacun des pays partenaires, et en collaboration avec les Coordinateurs SBA, la mise en œuvre du Programme s’appuie sur la composition de deux groupes de travail respectivement sur les thèmes de l’Accès au financement et de l’Internationalisation. Le but des groupes de travail est de garantir que les activités effectuées à une échelle régionale intègrent les priorités fixées au niveau national et se traduisent par un impact au niveau national.
Ces groupes de travail sont composés de décideurs politiques, d’organismes régulateurs, de représentants du secteur privé et – dans la mesure du possible – de représentants du corps législatif national ainsi que de représentants de la délégation de l’UE et des partenaires du développement qui seront invités à prendre part aux travaux de groupes. Ces groupes de travail, dont le nombre ne devrait pas dépasser 15 membres, doivent compter au moins 5 femmes parmi eux.
Les Groupes de Travail seront chargés des aspects suivants :